La Biosappia® à l’école, donner les clés du bien-être aux enfants et adolescents

La Biosappia® à l’école, donner les clés du bien-être aux enfants et adolescents

Sommaire : Quelques chiffres sur la santé mentale des enfants et adolescents Qu’est ce que les compétences psychosociales? Que peut apporter la méthode Biosappia® quelques notions du développement de l’enfant et de l’adolescent la méthode Biosappia® Et pour conclure Sources de références et d’inspiration   Différentes études rapportent des chiffres alarmants sur la santé mentale

Sommaire :

  • Quelques chiffres sur la santé mentale des enfants et adolescents
  • Qu’est ce que les compétences psychosociales?
  • Que peut apporter la méthode Biosappia®
    • quelques notions du développement de l’enfant et de l’adolescent
    • la méthode Biosappia®
  • Et pour conclure
  • Sources de références et d’inspiration
 

Différentes études rapportent des chiffres alarmants sur la santé mentale des enfants et des adolescents à travers le monde et notamment en France.

  Une consultation menée à l’échelle nationale par l’UNICEF France de mars à mai 2014 avait révélé que 45 % des 6-18 ans interrogés « se sentent vraiment angoissés de ne pas réussir assez bien à l’école».
Les difficultés rencontrées par les 6-18 ans se traduisent par des souffrances psychologiques chez un peu plus de 36 % d’entre eux. Cette souffrance  augmente avec l’âge et touche particulièrement les plus de 15 ans (43,3 %).
L’idée du suicide concernait 28 % des participants, en particulier les filles, tandis que la tentative de suicide aurait été vécue par près de 11 % d’entre eux.
Quant à la consommation de drogue et d’alcool,  plus de 41 % des plus de 15 ans disent consommer de l’alcool et avoir déjà été en état d’ivresse et près de 32 % consommer de la drogue ou fumer du cannabis.
Dans le rapport «mission Bien Etre et Santé des Jeunes» publié en novembre 2016, il est noté que plus de 50% des pathologies psychiques débutent avant 14 ans. 20% des élèves de 3ème présentent une situation de privation de sommeil , auxquels s’ajoutent d’autres troubles graves de l’endormissement.
En octobre 2021, l’Unicef publiait un rapport alarmant sur la santé mentale des enfants et des adolescents à travers le monde dans lequel on peut lire qu’en France, 1 jeune sur  4 âgé de 15 à 24 ans interrogé, a déclaré se sentir souvent déprimé ou n’avoir goût à rien. Il est estimé qu’1,6 million d’enfants et d’adolescents souffrent de troubles psychiques.
Entre 2016 et 2021, le nombre de passages aux urgences pour troubles psychiques chez les moins de 18 ans, notamment des tentatives de suicide, a augmenté de 65%.
Plus récemment, l’enquête COVIPREV de Santé publique France du 5 au 9 décembre 2022, constate que la santé mentale des Français, fortement dégradée depuis le début de la crise sanitaire, peine à récupérer. La prévalence des épisodes dépressifs a augmenté en France, avec une accélération sans précédent entre 2017 et 2021.  En 2022, le nombre d’hospitalisations pour lésions auto-infligées chez les jeunes femmes de moins de 24 ans, et surtout chez les 10-14 ans, a augmenté de 71 % en MCO et de +130 % en psychiatrie par apport à l’avant crise. Des professionnels alertent même sur le développement de ce phénomène chez des enfants de moins de 10 ans.
En Juin 2018 lors du 1er Comité Stratégique de la Santé Mentale et de la Psychiatrie (CSSMP), le  la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès BUZYN a présenté sa feuille de route.  Un des 4 axes de la stratégie nationale de santé était de mettre en place une politique de promotion de la santé, incluant la prévention, dans tous les milieux et tout au long de la vie dont à l’école. Il est notamment préconiser de «Renforcer les compétences psychosociales»
 
 

Qu’est ce que les compétences psychosociales ?

L’Organisation Mondiale de la Santé introduit ce concept en 1993 et les définit comme «la capacité d’une personne à répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne. C’est la capacité d’une personne à maintenir un état de bien-être subjectif qui lui permet d’adopter un comportement approprié et positif à l’occasion d’interactions avec les autres, sa culture et son environnement. La compétence psychosociale joue un rôle important dans la promotion de la santé dans son acception large renvoyant au bien-être physique, psychique et social ». Elles sont résumées comme la capacité d’une personne à maintenir un état de bien-être lui permettant de répondre aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne.
Elles sont ensuite  classées en 3 catégories : les compétences sociales, les compétences cognitives et les compétences émotionnelles. Parmi elles, on retrouve des compétences de communication, des capacités d’écoute,  de régulation émotionnelle, de gestion du stress, des compétences favorisant la confiance et d’estime de soi...
Ces notions sont dorénavant intégrées dans les plans ou bulletins officiels de l’éducation nationale. La loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’Ecole de juillet 2013 définit la notion de parcours éducatif de santé dans le système scolaire : «les élèves bénéficient, au cours de leur scolarité, d’actions de prévention et d’informations...». Ce parcours est un outil pédagogique et de formation.
Dans le rapport «mission Bien Être et Santé des Jeunes», il est stipulé qu’il est primordial de mettre en place un ensemble de mesures «minimales qui ont fait leur preuve» dont une initiation aux pratiques de relaxation et de maîtrise du stress.
  Dans ce cadre, la pratique de la relaxation à l’école et la méthode Biosappia® en particulier, semble prendre tout son sens.
 

Que peut apporter la méthode Biosappia aux enfants et adolescents ?

 

Voyons d’abord quelques notions du développement de l’enfant et de l’adolescent

  Le cerveau est constitué de 2 hémisphères (droit et gauche) réunit par le corps calleux. L’hémisphère gauche commande la partie droite du corps , est le siège du langage, de la raison et la logique. Il domine dans la majeure partie de la population occidentale.
L’hémisphère droit, quant à lui, contrôle la partie gauche du corps, est le siège de la  créativité, du rêve, de l’imaginaire, des émotions, de l’intuition. Leurs fonctions sont complémentaires
  Chaque hémisphère  est formé
  • du lobe frontal, lieu du raisonnement, fonctions du langage, coordination motrice volontaire
  • du lobe pariétal, siège de la conscience du corps et de l’espace environnant
  • du lobe occipital, permettant l’intégration des messages
  • du lobe temporal, centre de l’audition, de la mémoire et des émotions
  • du lobe limbique pour traiter les informations concernant les émotions, les affects et la mémoire
  • du lobe de l’insula permettant de traiter la douleur, les odeurs et le goût.
    Le système cérébral le plus développé chez l’enfant est le système limbique, siège des émotions les plus primitives comme la colère et la peur. Avant l’âge de 5 ans, l’enfant ne peut pas contrôler ses émotions et ne peut prendre du recul sur ce qu’il vit. Les circuits neuronaux qui relient le cortex préfrontal (réflexion) au cerveau archaïque (émotions) ne commence à maturer qu’à partir de 5 ans.
  A l’adolescence, les connexions entre le siège émotionnel (système limbique) et le siège de la raison (partie pré-frontale du cerveau) ne cessent de se faire et se défaire, d’où une grande instabilité émotionnelle. Le cortex pré-frontal mûrit entre 18 et 25 ans puisqu’il n’atteint sa maturité qu’à 25 ans. C’est là que se situe le néocortex, la partie du cerveau qui permet l’apprentissage, la mémoire, les émotions et les fonctions cognitives supérieures comme le langage.
  Un enfant puis un adolescent aura une meilleure capacité à apprivoiser ses émotions s’il a  bénéficié d’expériences où il lui est permis d’accueillir ses émotions, les reconnaître et les réguler tout ceci sans jugement, censure ni déni.
  La conscience de soi émerge chez l’enfant entre la naissance et l’âge de 2 ans, notamment avec l’arrivée du langage. Cela lui permet d’élaborer quelques représentations mentales de ses propres caractéristiques, les perceptions de soi entre 2 et 5 ans. Puis il accède vers 5-7 ans à des représentations de soi plus globales qui en se structurant créent un sentiment d’unité, de cohérence, de stabilité et de permanence dans le temps. C’est le concept de soi à partir duquel l’enfant peut élaborer l’estime de soi.
  Différentes initiatives sont mises en place dans les écoles française dont le programme «L’attention ça marche» d’Eline SNEL,  le programme PEACE mis en place par l’Association Méditation dans l’Enseignement de la maternelle à l’enseignement supérieur, Wake Up Schools  (initiative du maître zen Thich Nhat Hanh), l’Association SEVE (Savoir Être et Vivre Ensemble)  . Ces différents programmes démontrent une augmentation des compétences sociales des élèves, une diminution de leur anxiété et une amélioration du niveau de réussite scolaire.
  Une étude menée par des étudiants de l’Université de Bordeaux, en partenariat avec l’association «Enfance et attention» a été réalisée auprès d’élèves de 4 à 11 ans. Ces derniers  ont bénéficié d’une intervention sur 8 semaines de séances de Pleine conscience dont la durée variait de 1/2 h à 1h selon l’âge des enfants. Les résultats  publiés en mai 2019  révèlent que les enfants parvenaient à mieux se réguler émotionnellement et l’estime de soi avait grandi.
 

Et la BIOSAPPIA® dans tout ça ?

  La méthode Biosappia® est constituée d’un éventail de techniques et évolue sous 5 thématiques (réceptivité, émissivité, concentration, élimination, richesses intérieures) qui permettent à l’enfant et l’adolescent de progresser dans la connaissance de lui-même et contribue à son  développement .
  Elle emprunte des exercices de la méthode Vittoz, qui selon Frédéric LENOIR a inspiré la «pleine présence». Conçue par le docteur VITTOZ, contemporain de Freud, elle appartient au courant humaniste.  Elle donne au corps et aux sensations un rôle essentiel.  L’écoute des sensations  conduit à vivre pleinement le moment présent, vivre l’instant ici et maintenant.  L’attention portée au corps permet à l’esprit de s’apaiser. En  rétablissant un état de présence, elle rend disponible pour accueillir ce qui est et permet de stopper les pensées. Geneviève MANENT écrit «lorsque je suis dans le présent, totalement dans ma situation, dans mon activité ou dans ma réflexion, alors je suis tout simplement bien. Les perturbations dues à l’agitation, aux émotions, aux idées fixes ou désagréables ont été éliminées».
  Cette partie sensorielle de la méthode Biosappia® fait appel à des exercices simples, intégrés dans la vie quotidienne et utilise des actes de la vie courante comme par exemples la marche consciente, les exercices de réceptivité basés sur les 5 sens.
Des recherches scientifiques dans le domaine de la neuroplasticité révèlent que la configuration du cerveau n’étant pas figée, des exercices d’entraînement  peuvent modifier nos câblages cérébraux et donc notre façon de voir les choses. La méthode  utilise  d’autres exercices comme  les  graphismes qui peuvent aussi être pratiqués en gestuelle, particulièrement pour les jeunes enfants.  En plus des bienfaits déjà mentionnés, ils développent la coordination, la latéralisation. Comme ils sollicitent tour à tour l’hémisphère droit et l’hémisphère gauche (si effectués avec chaque main et/ou les 2 simultanément), cela crée un équilibre ou un rééquilibrage. Le système scolaire et sociétal étant plus porté vers les fonctions régies par l’hémisphère gauche, cette pratique développe les fonctions liées à l’hémisphère droit.
  La méthode Biosappia® visent l’autonomie, c’est à dire  qu’elles offrent des outils variés,  donnant à chacun la possibilité de se pendre en charge, en sachant quel exercice pratiquer lorsqu’une difficulté se présente. Comme l’écrit Janine MORTIER, «l’enfant est tout à fait à même de comprendre cela et de découvrir les moyens qu’il peut utiliser pour que son cerveau fonctionne bien. Tout en apprenant en s’amusant, l’enfant devient acteur de son mieux être mental et psychique.»
  La méthode Biosappia® est également  constituée de pratiques  physiques, postures  inspirées du yoga et du qi gong, de pratique de respiration (pranayama) et de textes de relaxation guidée (visualisations, suggestions) qui permettent la détente corporelle et aussi la détente du mental.   Là aussi, l’attention est portée au corps et aux sensations intérieures, ce qui participe à la connaissance de soi qui se structure peu à peu. Cela contribue à construire l’estime de soi.  L’enfant prend conscience de l’espace qui l’entoure, sa connaissance de son schéma corporel, des différentes parties de son corps et de leurs fonctions se développe.
  Lors des exercices, l’enfant ou l’adolescent est invité à observer et accueillir ce qui se passe en lui, à être à l’écoute de lui même. Il peut s’apercevoir que ses émotions varient. Cela l’amène à faire la différence entre lui et l’émotion du moment. Par exemple, il a de la colère sans être lui même la colère. Si les émotions peuvent être repérées, nommées, il est plus facile de les gérer, ce qui a un impact positif quant aux relations avec les autres qui s’en trouvent plus harmonieuses. Avec une pratique régulière, il se connaît davantage et peut mieux repérer les perturbations qui le traverse.
  L’étude citée ci-dessus réalisée par l’Université de Bordeaux met en avant que les bienfaits du programme  sont encore plus significatifs chez les enfants en difficultés. Il est vrai que la posture de laisser à chacun la liberté d’accueillir ses sensations telles qu’elles sont,  sans jugement, signifie qu’il n’y a pas de bonne ou mauvaise réponse, ce qui permet à tout un chacun d’être dans la réussite, en dehors de toute crainte de l’échec. Cela joue sur l’estime de soi et la confiance qui s’en trouvent renforcée et également sur le stress ( qui peut être provoqué par la peur de l’échec ,du jugement ) qui  lui s’en trouve diminué.
Cette posture d’accueil de sensations sans jugement permet également une ouverture, une acceptation de la différence, d’être à  l’écoute des différentes individualités qui composent un groupe classe.
Les pratiques dont celles  du module «richesses intérieures» offrent un éventail où chaque enfant et adolescents peut trouver , en dehors de  ce qui est attendu dans les apprentissages scolaires, ses qualités, potentiels, réussites, ce qui le met en valeur.
    Les postures physiques, inspiré du yoga et du gi gong, sont réalisées de façon statique ou en mouvement, elles permettent elles aussi à l’enfant et l’adolescent de découvrir (ou redécouvrir)  ou prendre conscience de son corps et son fonctionnement. Elles développent la mobilité, la motricité, la coordination, l’équilibre. Elles améliorent ou renforcent la souplesse et la tonicité du corps.  Elles permettent à l’enfant de bouger, ce qui est souvent un besoin chez les petits. L’enfant  se dépense pour mieux se détendre.  A la fin de la séance, il s'est à la fois défoulé et relaxé.  Les pratiques corporelles tendent à installer  une habitude de bonne posture ou à rétablir la posture du corps. Pour les adolescents notamment, elles peuvent corriger d’éventuelles mauvaises positions qui ont des incidences sur le dos et la colonne vertébrale par exemple.
Les postures favorisent l’imaginaire de l’enfant qui peut très aisément visualiser le lien entre le mouvement de son corps et l’image de l’animal ou de l’élément dont le nom de la posture est tiré (la montagne, le chat-chien, l’oiseau…)
  La pratique régulière d’exercices de respiration , outre les bienfaits physiologiques (oxygénation du sang, régulation du coeur, régulation des fonctions digestives,…) amène de l’apaisement au cerveau, ce qui calme le mental et favorise la détente physique.
Là aussi, la pratique se fait dans un cadre sans compétition, sans objectif à atteindre, dans le respect des capacités de chacun, ce qui offre à chacun de réussir.
  Dans les différents exercices, guidé par l’adulte qui peut  suggérer,  l’enfant entend un vocabulaire varié qui peut enrichir le sien,  notamment dans les textes de relaxation. Ces derniers sont riches de possibilités pour susciter l’imaginaire et la créativité des enfants et adolescents.
  Au cours d’une séance, des exercices différents sont proposés ce qui évite la monotonie et permet aussi de varier les positions de l’enfant ou l’adolescent. Cela est d’autant plus nécessaire avec les plus jeunes qui ont besoin de bouger souvent. Dans cette diversité, une constante demeure, l’attention au corps et à la respiration ce qui permet à l’enfant de se centrer sur lui-même et l’inscrire comme une routine.
 

Et pour conclure,

Comme nous venons de le voir, la méthode Biosappia® est une méthode dynamique et riche de diversité. Elle utilise différentes techniques qui ont des bienfaits à la fois  similaires et complémentaires. Leur association procure une meilleure connaissance et conscience du corps, la perception des émotions et leur régulation, donc une meilleure gestion du stress. Pratiquée comme une activité ludique, elles favorisent l’imaginaire, la rêverie, la créativité, la pensée positive ce qui  contribue aussi à développer l’estime de soi et gagner en confiance en soi.
Outre ces bienfaits qui correspondent aux compétences psychosociales telles définit précédemment, les exercices proposés apportent détente physique et mentale, ce qui améliore le sommeil, la mémorisation et la concentration. Alors que certaines études montrent que la capacité de concentration chez les enfants n’excède guère 8 secondes, ces pratiques peuvent être un entraînement pour la développer et favoriser la réussite scolaire.
  Dans le dossier de presse de mars 2023 du Ministère de la santé et de la prévention, on peut lire parmi les titres en gras «PRENDRE SOIN DE SA SANTÉ MENTALE S’APPREND DÈS LE PLUS JEUNE ÂGE (mesure 11 des assises)»
L’école est un lieu prépondérant des apprentissages qui concernent la très large majorité des enfants et où ils se rendent quasi quotidiennement.  La pratique à l’école permet de donner aux enfants et adolescents des bases, des  acquis pour toute la vie. C’est pourquoi il semble important d’y développer si ce n’est d’y systématiser les pratiques de «Bien être» dont  la méthode Biosappia®.     Matthieu RICARD souligne «on ne peut qu’accueillir avec gratitude des exercices qui renforcent la système immunitaire mental, tout comme l’exercice physique renforce le système immunitaire corporel».
  La Biosappia® réunissant les 2, sa pratique est à encourager dans un objectif de prévention, pour donner aux enfants et adolescents des clés pour leur bien-être.
  Carole GUERIN (Juin 2023)
    Sources de références et d’inspiration
 
  • Vivre l’instant avec la méthode Vittoz - Martine MINGANT – Editions Eyrolles
  • Mes premières méditations avec Petit Bambou- Dominique BUTET- Marabout
  • Vittoz pour les enfants- Janine MORTIER- Pierre Téqui éditeur
  • Philosopher et méditer avec les enfants- Frédéric LENOIR- Albin Michel
  • La relaxation au quotidien, l’art du bien-être - Geneviève MANENT- Editions le souffle d’or
   

Un grand merci à Carole, une ancienne étudiante, pour la qualité de cet article. Pour aller plus loin, découvrez également notre formation de spécialisation à destination des enfants et des ados (disponible dans la brochure en cliquant ci-dessous)

   
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